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Livre

La sélection littérature de Noël des libraires

Chaque année, les libraires de votre région sélectionnent les meilleures idées cadeaux dans le catalogue "Noël en librairie". Voici leurs titres favoris pour réussir vos cadeaux à coup sûr !

Un chien à ma table
Claudie Hunzinger

C’est un roman dont Yes, une jeune chienne, est le personnage principal. Un soir, celle-ci, traînant une sale histoire avec sa chaîne brisée, surgit à la porte d’un vieux couple, Sophie une romancière et Grieg son compagnon. À partir de là, le destin de Yes va tenir à lui seul la narration. D’où vient-elle, qu’a-t-elle vécu ? Est-on à sa poursuite ? La chienne se révèlera la gardienne de ce qui caractérise l’humain. La gardienne du langage. Mais une gardienne menacée. On pourrait aussi voir dans ce roman l’histoire d’un duo féminin/animal. Il raconte en effet la grande affection qui lie Sophie, la narratrice, et Yes, la jeune chienne échappée de chez un zoophile. Chacune s’augmentant de l’autre. Chacune veillant aussi sur l’autre. Jusqu’au drame. Mais c’est également un roman d’amour entre deux êtres humains, interrogeant quelle sorte d’amour lie encore un vieux couple, Sophie qui aime les marches dans la forêt, et Grieg, déjà sorti du monde, dormant le jour et lisant la nuit, survivant grâce à la littérature. L’intrusion de Yes sera le révélateur de l’amour qui lie ce couple en passe de l’avoir oublié. Cependant, on peut aussi penser que le thème du roman, c’est la vieillesse. Celle du monde, celle d’un couple, celle d’une femme. Oui. Mais surtout le contraire de la vieillesse. Dans ce roman, on n’accepte pas encore la défaite. Grâce à l’irruption de Yes, il est une ode à la vie. On peut également penser qu’on se trouve dans un roman écoféministe dont l’enjeu est ce qui lie la nature menacée et le féminin révolté. Quoi qu’il en soit, on baigne dans des temps troublés. Bizarres. Inquiétants. Où va-t-on ? L’humanité, que deviendra-t-elle ? Que deviendront les bibliothèques, les librairies, les livres ? Mais comme il s’agit d’un livre qui prône l’extravagance, où les poètes de ces temps de détresse se sont réfugiés dans les champignons, merveilles d’un futur imprévisible, ce roman baigne dans un climat d’amour de la poésie. Son véritable enjeu climatique, c’est la poésie.

 

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Fantaisies guérillères
Guillaume Lebrun

Nous pensons tous connaître les grandes lignes de la geste de Jeanne d’Arc. Nous ignorons bien souvent qu’au début cellesci étaient au nombre de quinze petites Jehanne, rassemblées en secret sur ordre de la grande Yolande d’Aragon afin d’être formées, dans le but de révéler une prophétesse : au programme, entraînement à la décollation de Bourguignons, techniques pour éviter le bûcher, méthode Guillemette Latubée et cours sur les Vies parallèles des Femmes Illustres. Car à l’aube du XVe siècle, l’Histoire du Royaume de France n’a plus aucun sens : Armagnacs, Bourguignons et Englishes se disputent le trône, chaque camp se considérant légitime. Celle qui se montrera la guérillère la plus forte et la plus vaillante devra libérer Orléans et sacrer Roi le Dauphin (du moins, voici le prétexte de cette quête exceptionnelle). C’est Jehanne la Douzième qui s’impose nettement. Or son profil n’a rien à voir avec ce que Yolande d’Aragon imaginait… Porté par une langue vive aussi tranchante que le fil d’une épée, ce roman fougueux, original et drôle interroge la manière dont sont construits les grands récits et personnages historiques. Avec une grande inventivité, l’auteur mêle les registres de langues et les genres littéraires pour révéler la véritable épopée de grandes guérillères.

 

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Zizi Cabane
Bérengère Cournut

Après De Pierre et d’os (200 000 lecteurs), Bérengère Cournut revient avec un nouveau roman. Avec une fantaisie qui n’appartient qu’à elle, l’autrice nous conte le destin d’une mère qui s’évapore de la maison et laisse un trio pas banal d’enfants livrés à eux-mêmes. Des contrées de l’enfance jusqu’à la découverte du grand Nord, c’est un nouveau voyage qui commence….
Odile a disparu, laissant derrière elle son mari Ferment et leurs trois enfants. Privés de la présence maternelle, Béguin, Chiffon et la jeune Zizi Cabane doivent trouver un nouvel équilibre. Mais rien ne se passe comme prévu dans la maison. Une source apparaît dans le sous-sol, et veut absolument rejoindre le ruisseau du jardin. Un drôle de vent rôde. Et tandis que tante Jeanne essaie de ramener un peu de raison là dedans, Marcel Tremble, faux grand-père surgi de nulle part, accompagne avec tendresse la folie de ces êtres abandonnés. Que vont devenir les chagrins ? Sur quelles pentes vont-ils désormais rouler ? Après le voyage arctique de De pierre et d’os, Bérengère Cournut réussit une nouvelle fois l’invraisemblable : mêler la poésie à la prose pour dire en souriant la douleur, associer le quotidien aux rêves pour réinventer avec force un chemin de vie.

 

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Attaquer la terre et le soleil
Mathieu Belezi

Attaquer la terre et le soleil narre le destin d’une poignée de colons et de soldats pris dans l’enfer oublié de la colonisation algérienne, au dix-neuvième siècle. Et en un bref roman, c’est toute l’expérience d’un écrivain qui subitement se cristallise et bouleverse, une voix hantée par Faulkner qui se donne.

Depuis plus de vingt ans, Mathieu Belezi construit une oeuvre romanesque d’une cohérence étonnante, à la phrase ciselée. La musicalité qui frappe dès les premières lignes d’Attaquer la terre et le soleil fait écho à Le Petit Roi, son premier roman publié en 1998 aux éditions Phébus. Quant à son thème, il renvoie évidemment à sa grande trilogie algérienne, publiée successivement aux éditions Albin Michel (C’était notre terre, 2008) et Flammarion (Les vieux Fous, 2011 ; Un faux pas dans la vie d’Emma Picard, 2015). Est-ce la constance de ce parcours qui explique la fulgurance de ce nouveau roman ? Écrit en quelques mois, Attaquer la terre et le soleil dit en tout cas avec une beauté tragique, à travers les voix d’une femme et d’un soldat, la folie, l’enfer, que fut cette colonisation.

 

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Bones bay
Becky Manawatu

Nouvelle-Zélande, aujourd’hui. Le chant de Taukiri résonne dans le grondement de cette mer qu’il aime et déteste à la fois, dans la musique qu’il tire de la guitare héritée de son père. Le jeune homme fuit sur l’autre île, au nord, espérant échapper au poids des secrets de famille. Arama, son petit frère qu’il a abandonné dans un foyer hostile, est celui dont on n’attend rien. Pourtant, avec l’ardeur et la grâce des vulnérables, le garçon s’obstine à révéler l’éclat de la vie dans chaque faille où elle peut encore trouver à se faufiler.

 

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Confessions à un ficus
Catherine Logean

Quand nous découvrons Geoffroy, le héros navrant de ce roman, il est coincé dans un ascenseur triste métaphore d’une existence placée sous le signe de l’échec malgré des tentatives pour sortir du cadre. Doté d’un jumeau expansif à qui tout a réussi, il végète dans une entreprise de commerce aberrante dont il va claquer la porte pour trier des pommes. Abandonné par la femme aimée, repéré par une metteuse en scène d’avant-garde dont il va subir les (hilarantes) idées modernes, il subit les autres sans cesser de se questionner, tant sur son absurde parcours que sur sa capacité à tout supporter. Il faudra un ficus compatissant, celui de son psy, pour qu’il ose enfin envoyer chier ceux qui le méritent.

 

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Darwyne
Colin Niel

Mathurine travaille à la protection de l’enfance. On lui confie un signalement concernant un garçon de dix ans, légèrement handicapé, Darwyne Massily. C’est à Bois Sec, un bidonville gagné sur la jungle infinie, que vivent Darwyne et sa mère Yolanda, une beauté qui collectionne les conquêtes. Malgré des apparences rassurantes, Mathurine a l’intuition que quelque chose ne tourne pas rond dans cette famille. Dans ce roman où s’exprime magistralement sa plume expressive, Colin Niel nous emporte vers l’Amazonie, territoire d’une puissance fantasmagorique qui n’a livré qu’une part infime de ses mystères. Darwyne, l’enfant contrefait qui ferait n’importe quoi pour que sa mère l’aime, s’y est trouvé un refuge contre le peuple des hommes. Ceux qui voudraient qu’il soit comme les autres.
Avec ce roman, Colin Niel revient en Amazonie ; il s’empare d’une figure connue dans tout le domaine amazonien, le Maskilili, une créature enfantine qui a la particularité d’avoir les pieds à l’envers.

 

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Demain, le jour
Salomon de Izarra

France, 1936. Le bruissement d’une nouvelle guerre se fait entendre. Un train traverse les Vosges mais n’arrivera jamais a` destination. De la carcasse encore fumante, alors que la nuit tombe, trois survivants trouvent refuge dans un petit village abandonne´, au creux de la fore^t, au milieu de nulle part.
Accueillis par le Maire, harcelés par des créatures mystérieuses, ils sont pris pris au piège et devront plonger dans les souvenirs les plus sombres de leurs vies pour découvrir les raisons de leur présence en ces lieux.
Avec Demain, le jour, Salomon De Izarra signe un huis clos intime et fantastique, véritable miroir des vanités humaines.

 

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Et la forêt brûlera sous nos pas
Jens Liljenstrand

Au plus fort de l’été, alors que de nombreux Suédois aisés sont en vacances, de gigantesques feux de forêt se déclarent. Dans cette situation apocalyptique, la région se mue en une véritable zone de guerre et les autorités peinent à faire face. Didrik, consultant médias, est pris dans le cataclysme avec sa famille, mais semble autant préoccupé par ses tweets en direct que par le destin des siens.Courage, lâcheté, indifférence, colère, comment réagissons-nous face à ces crises qui nous dépassent? Sommes-nous, aujourd’hui, capables de modifier profondément nos modes de vie? En suivant quatre personnages qui incarnent chacun une réaction différente face à la catastrophe qui vient, Jens Liljestrand livre avec ce roman saisissant une salutaire mise en garde. L’humanité ne dispose que d’une planète, et chaque individu n’a qu’une vie. Dès lors, que choisissons-nous d’en faire?

 

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Hors-la-loi
Anna North

À dix-sept ans, la vie semble sourire à Ada : elle vient d’épouser le garçon qu’elle aime et son travail de sage-femme aux côtés de sa mère la passionne. Mais les mois passent et le ventre de la jeune femme ne s’arrondit toujours pas. Dans cette petite ville du Texas où la maternité est portée plus haut que tout, et la stérilité perçue comme un signe de sorcellerie, les accusations à l’encontre d’Ada ne tardent pas à se multiplier. Bientôt sa vie même est menacée et elle n’a d’autre choix doit que de partir, renonçant à tout ce qu’elle avait construit.
Elle trouve refuge au sein du tristement célèbre gang du Hole-in-the-Wall, une bande de hors-la-loi dirigée par un leader charismatique : le Kid. Le Kid rêve de créer un havre de paix pour les femmes marginalisées et rejetées par la société en raison de leurs différences.
À ses côtés, Ada apprend à monter à cheval, à tirer et à maîtriser l’art de se déguiser en homme pour piller des diligences ou voler du bétail. Mais le Kid veut aller plus loin et échafaude un plan qui pourrait bien leur être fatal. Ada est-elle prête à risquer sa vie pour un monde meilleur ?

Hors-la-loi dépoussière avec fracas le mythe du Far West et brosse le portrait d’une héroïne inoubliable, portée par une soif de vérité et de justice.

 

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Euphorie
Cullhed Elin

A l’aube des années 1960, Sylvia Plath fait déjà parler d’elle : jeune poète admirée de ses contemporains, elle forme avec Ted Hughes le couple d’artistes en vogue. Après une période difficile en hôpital psychiatrique, Sylvia aspire au bonheur et c’est dans la famille qu’elle le trouvera, affirme-t-elle : c’est elle qui insiste pour quitter Londres et s’installer à la campagne, la petite Frieda à son bras et Nicholas encore dans le ventre. Mais dans cet havre de paix, rien ne se passe comme elle l’avait prévu : accaparée par les tâches du quotidien, la pression familiale et ses propres obsessions, la jeune femme n’a plus le temps d’écrire. Sa vie se délite à mesure que celle de Ted prend un nouvel essor, de plus en plus demandé à Londres par ses éditeurs et ses maîtresses. Alors que son corps ne semble déjà plus suffisant pour la porter, épuisé par un accouchement, la fièvre et les travaux harassants du foyer, l’esprit de Sylvia ne tient qu’à un fil, n’aspirant qu’à un peu de repos, enfin. Elin Cullhed imagine la dernière année de Sylvia Plath et s’approprie son style foudroyant ; tout en sensibilité douloureuse, sa plume épouse la noirceur lumineuse de la vie de l’écrivaine. Une oeuvre monumentale qui se fait le témoin d’un destin hautement symbolique : la « folie » de Plath n’est-elle pas, tout compte fait, celle du monde et de ses contradictions ?

 

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Je suis Jésus
Giosuè Calaciura

Jésus vit à Nazareth avec sa mère, qui l’a eu très jeune, et son père, Joseph, un charpentier taciturne. Lorsque celui-ci abandonne sa famille sans laisser de trace, il décide de partir à sa poursuite. Ce jeune fugueur embarque avec une troupe d’acrobates pour un périple plein de surprises. C’est un Jésus humain, qui va découvrir l’amour charnel, les trahisons, la douceur et la violence. Un adolescent troublé, ancien enfant farceur, parfois blasphémateur, qui aujourd’hui veut vivre pleinement ; qui, comme chaque adolescent, est dans l’impatience d’agir. Or, dans ce monde aux lois impitoyables, sous l’égide d’une féroce domination romaine, de l’autorité des prêtres, soumis à l’arrogance des riches, à la famine, dans cette époque bouleversée par de profonds changements, nul mieux qu’un jeune garçon tourmenté par le désir, aux prises avec ses démons personnels, ne peut sentir le battement souterrain d’une révolution à venir.
Porté par le souffle épique de la jeunesse, de l’aventure, et la quête d’un mystère familial, Calaciura nous tient à sa merci, en haleine, joue avec le présage d’une destinée extraordinaire.

 

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L'été où tout a fondu
Tiffany Mcdaniel

Été 1984 à Breathed, Ohio. Hanté par la lutte entre le bien et le mal, le procureur Autopsy Bliss publie une annonce dans le journal local : il invite le diable à venir lui rendre visite.
Le lendemain, son fils Fielding découvre un jeune garçon à la peau noire et aux yeux d’un vert intense, planté devant le tribunal, qui se présente comme le diable en personne. Cet enfant à l’âme meurtrie, heureux d’être enfin le bienvenu quelque part, serait-il vraiment l’incarnation du mal ? Dubitatifs, les adultes le croient en fugue d’une des fermes voisines, et le shérif lance son enquête. Se produisent alors des événements étranges qui affectent tous les habitants de Breathed, tandis qu’une vague de chaleur infernale frappe la petite ville.
Porté par une écriture incandescente, L’été où tout a fondu raconte la quête d’une innocence perdue et vient confirmer le talent exceptionnel d’une romancière à l’imaginaire flamboyant.

 

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La femme du deuxième étage
Jurica Pavicic

La jeune Bruna, modeste employée, tombe amoureuse de Frane, qui termine ses études pour devenir marin. La relation heureuse mène rapidement au mariage, et le couple emménage au deuxième étage de la maison construite par les parents de Frane au prix de grands sacrifices. Au premier vit Anka, la mère de Frane. Deux ans plus tard, Bruna est à la prison de Požega, où elle purge une longue peine pour le meurtre de sa belle-mère…
La Femme du deuxième étage est l’anatomie de cette tragédie dans laquelle des gens ordinaires deviennent acteurs de la rubrique faits divers. Ce thriller psychologique tendu éclaire non seulement la façon dont le crime a été commis, mais aussi pourquoi. À la recherche d’une réponse, l’écrivain s’enfonce dans la peau de son héroïne et explore les circonstances qui ont conduit au meurtre. Excellent chroniqueur et critique de la réalité sociale, Pavicic traite des mutations d’une société en transition et de leur impact sur le microcosme d’une famille, sur fond d’images idylliques de la Méditerranée qu’il oppose à celle d’une cruauté difficile à pardonner.

 

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Les gens de Bilbao naissent où ils veulent
Maria Larrea

L’histoire commence en Espagne, par deux naissances et deux abandons. En juin 1943, une prostituée obèse de Bilbao donne vie à un garçon qu’elle confie aux jésuites. Un peu plus tard, en Galice, une femme accouche d’une fille et la laisse aux soeurs d’un couvent. Elle revient la chercher dix ans après. L’enfant est belle comme le diable, jamais elle ne l’aimera.
Le garçon, c’est Julian. La fille, Victoria. Ce sont le père et la mère de Maria, notre narratrice.
Dans la première partie du roman, celle-ci déroule en parallèle l’enfance de ses parents et la sienne. Dans un montage serré champ contre champ, elle fait défiler les scènes et les années : Victoria et ses dix frères et soeurs, l’équipe de foot du malheur ; Julian fuyant l’orphelinat pour s’embarquer en mer. Puis leur rencontre, leur amour et leur départ vers la France. La galicienne y sera femme de ménage, le fils de pute, gardien du théâtre de la Michodière. Maria grandit là, parmi les acteurs, les décors, les armes à feu de son père, basque et révolutionnaire, buveur souvent violent, les silences de sa mère et les moqueries de ses amies. Mais la fille d’immigrés coude son destin. Elle devient réalisatrice, tombe amoureuse, fonde un foyer, s’extirpe de ses origines. Jusqu’à ce que le sort l’y ramène brutalement. A vingt-sept ans, une tarologue prétend qu’elle ne serait pas la fille de ses parents. Pour trouver la vérité, il lui faudra retourner à Bilbao, la ville où elle est née. C’est la seconde partie du livre, où se révèle le versant secret de la vie des protagonistes au fil de l’enquête de la narratrice.

Stupéfiant de talent, d’énergie et de force, Les gens de Bilbao naissent où ils veulent nous happe dès le premier mot. Avec sa plume enlevée, toujours tendue, pleine d’images et d’esprit, Maria Larrea reconstitue le puzzle de sa mémoire familiale et nous emporte dans le récit de sa vie, plus romanesque que la fiction. Une histoire d’orphelins, de mensonges et de filiation trompeuse. De corrida, d’amour et de quête de soi. Et la naissance d’une écrivaine.

 

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